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Page:Goudeau — Dix ans de bohème, 1888.djvu/217

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Proclamons les princip’ de l’art,
Que tout l’monde s’épanche ;
Le marbre est un’ matière à part :
Un’, deuss’, y en n’a pas d’plus blanche.

Et l’on proclamait les principes de l’art, avec des cris farouches de Gaulois exaspérés, et, parfois, pour ajouter au tumulte, le barde Quellien venait pousser le cri du chouan : Hou-ou-ouhouh !

Dans un englobement rapide, j’ai essayé de donner la sensation de ce que pouvaient être ces séances, où la gaminerie de la jeunesse se mêlait à un vif amour de l’art sous ses formes les plus diverses.