— Si c’est fini, dit Mouffleton, buvons.
Bergamote, blessé comme auteur après avoir été froissé comme amant, gardait un silence digne.
— Ah ! messieurs, dit Pétroquin en se levant et en donnant de l’émotion à sa voix, « ne cherchons pas à soulever le voile derrière lequel se cachent nos destinées. Personne n’a prophétisé aujourd’hui ce qui sera demain. » Autre discours. J’en conclus que nous ne savons pas le moins du monde ce qui arriva à Bergamotte après avoir quitté sa belle.
— Et partant pour la Syrie, acheva Faucheux.
Jean Pouilly eut encore besoin de recourir à son autorité pour obtenir de Bergamotte qu’il reprît le fil de sa narration.
— Si l’on m’interrompt encore une fois !…
— On ne t’interrompra plus.
— Je partis, comme vous dites ; il y avait