— En effet, je ne connais pas cette société, mylady ; et que fait-elle cette société ?
— Elle se compose de séducteurs d’élite, d’hommes dangereux, comme ils s’intitulent, d’hommes…
— Mais quel rapport, mylady, peut-il exister entre vous et cette société, ce club ?
— Mon mari, dit-on, en faisait partie, ainsi qu’un comte de Madoc, le fameux comte de Madoc… vous savez !
Pardon, mylady, interrompit tranquillement le faux sir Archibald Caskil, quoiqu’il brûlât d’envie de connaître le contenu de l’article du journal anglais ; mais par quoi est donc fameux le comte de Madoc ?
— Mais par beaucoup de choses, assure-t-on, par sa beauté particulière comme homme, par le choix de ses manières, la distinction de son esprit, surtout par l’art, poussé au plus haut degré chez lui, d’exercer la séduction,