Page:Grandmougin - Ode au colonel Denfert-Rochereau, 1879.djvu/20

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On meurt, raidi par la froidure,
Sur cet immense désespoir
Plane l’immense deuil de toute la nature !
À nos lamentables soldats
La Suisse enfin sourit, la Suisse fortunée,
Au bord de ses lacs bleus vivant loin des combats,
Et qui vient doucement, comme une sœur aînée,
À notre République ouvrir tout grands les bras !