Page:Grandmougin - Ode au colonel Denfert-Rochereau, 1879.djvu/21

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

IV


 
Pour toi, Denfert, génie entrevu comme un rêve,
On ne t’entendait plus, mais tu luttais sans trêve,
Illuminant l’esprit du plus désespéré !
Treskow, avec orgueil, te somme de te rendre !
C’est à coups de canon que tu lui fais comprendre
Combien ton devoir est sacré !

Paris, tremblant de fièvre et pâle de famine,
Morne de succomber avant d’être en ruine,