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Page:Grave - Les Aventures de Nono.djvu/118

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— Nous allons à l’école, lui dirent-ils, tu viens avec nous ?

— Tu verras comme on s’y amuse, ajouta Dick qui s’était joint à eux.

Nono, qui ne demandait pas mieux que de voir du nouveau, promit à ses élèves de reprendre sa leçon le lendemain et suivit le groupe des étudiants.

Ils entrèrent en une salle spacieuse, au rez-de-chaussée du palais, où étaient rangés des tables, des bancs et des chaises ; mais non de ces grandes tables, longues comme des jours sans pain, qui encombrent toute la salle et que l’on ne peut changer de place. C’était de petites tables carrées que l’on pouvait transporter à la place que l’on désirait, et disposer comme on voulait ; car les écoliers avaient la faculté de se réunir par groupes.

Nono et ses amis allèrent se placer à une de ces tables où ils s’installèrent à leur aise. Nombre de leurs camarades avaient déjà pris place en différents endroits de la salle.

C’était Liberta qui présidait aux leçons,