jaune. Ils contiennent cette marque au feu, dans l’intérieur, sur le fond, à la place habituelle de l’étiquette :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/58/Marque_Didier_Nicolas_l%E2%80%99a%C3%AEn%C3%A9_%E2%80%94_sans_date_-_T2p359.png/280px-Marque_Didier_Nicolas_l%E2%80%99a%C3%AEn%C3%A9_%E2%80%94_sans_date_-_T2p359.png)
Nicolas (Joseph). — Mirecourt, 1796 † 1864. Fils, élève et successeur du précédent. Lutherie un peu plus soignée. Il signait tous ses instruments à la plume et les marquait au feu à l’intérieur :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/3a/Marque_Joseph_Nicolas_%E2%80%94_sans_date_-_T2p359.png/250px-Marque_Joseph_Nicolas_%E2%80%94_sans_date_-_T2p359.png)
On ne sait dans quel but il fit, en 1855, un violon à deux tables pouvant se jouer des deux côtés, et ayant deux touches, deux chevalets, deux cordiers, etc.
Les deux marques ci-dessus sont actuellement la propriété de la maison Derazey.
Nigout. — Jenzat (Allier). Ancien ouvrier de la maison Pajot, qui s’est établi en 1863. Spécialité de vielles.
Obrecht. — Colmar, 1819. Étiquette manuscrite :
Réparé
par M. Obrecht réparateur
à Colmar
1819.
Olry. — Amiens, 1835. Bon luthier. Élève de Georges Chanot :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e5/%C3%89tiquette_Olry_%E2%80%94_1838_-_T2p359.png/350px-%C3%89tiquette_Olry_%E2%80%94_1838_-_T2p359.png)
Ouvrard (Jean). — Paris, 1725-1750 environ. On le dit élève de Claude Pierray. Il fut juré comptable en 1743.