Aller au contenu

Page:Guèvremont - En pleine terre - paysanneries - trois contes, 1942.djvu/62

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
64
Germaine Guèvremont

Ce que la mère savait, elle, c’est qu’il lui faudrait, à même sa personne, se reconstruire une autre personne et s’habituer à vivre sans Éphrem. Répartir son affection sur les autres enfants, ainsi que plusieurs l’y engageaient ? Ah ! non ! Mort comme vivant, Éphrem aurait toujours sa place.

Quelqu’un s’occupa de fermer les contrevents hormis ceux de la cuisine. Mais le malheur était quand même entré dans la maison.