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Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/121

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cœlestia fata.


Puis, aïeul attristé que l’abandon torture,
Lui-même refroidi, vêtant l’écorce obscure,
(Tels autrefois Vénus, et la Terre, et Mercure),

Le Soleil, à son tour fleuri, vivant encor,
Continuera son vol effaré de condor,
Aveugle — par le ciel fourmillant d’astres d’or.


Janvier 1884.