Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/163

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
153
à pierre de ronsard.

Quels lauriers verdiffans fleurit la gloire ardeuë,
Ceulx-là premier cueillis, en la riche eftendeuë
Où ton génie ardent te fouffrit prendre effor.

Ton fantôfme ung chafcun d’ung poète deuine,
A caufe de fa ioue, où paroit rofe encor
Le fuçon careffant de la Mufe diuine.


Décembre 1883.