- ↑ De la rue du Martrai à la rue de la Viez-Tiesseranderie.
Elle été appelée plus tard rue du Pet-au-Diable, soit par dérision pour les Juifs, qui y avaient une synagogue, soit parce qu’elle a été habitée par un nommé Petau, que l’on surnommait le Diable. En 1810, elle fut appelée rue du Sanhédrin, parce que le sanhédrin des Juifs s’était tenu à l’Hôtel-de-Ville, dans une salle qui avait son entrée sur cette voie publique. En 1815, elle prit le nom de rue du Tourniquet-Saint-Jean, parce qu’un tourniquet en défendait l’entrée aux voitures à ses deux extrémités. En 1838, elle a été réunie à la rue Lobau.
- ↑ De la rue de la Viez-Tiesseranderie à la rue de la Verrerie.
Son nom lui venait des portes qui la fermaient à ses deux extrémités. Elle s’est appelée un moment rue Galiau. Elle a été élargie lors du percement de la rue de Rivoli (1853).
tiré son nom du martyre qu’y subissaient les criminels, dont on aurait fait martroi (martyrium). Appelée, plus tard, rue Saint-Jean-en-Grève, cette rue reprit son nom primitif, et le garda jusqu’en 1837, époque à laquelle elle fut supprimée pour l’agrandissement de l’Hôtel-de-Ville.