Et puis le Foſſé-Saint-Germain[1],
Trou Bernart[2] trouvai main à main,
Part ne compaigne n’atendi ;
Mon chemin a val s’eſtendi,
Par le Saint-Eſperit, de rue
Sus la rivière[3] en la Grant-rue[4]
- ↑ De la rue de l’Arbre-Sel à la rue des Poulies.
Bâtie sur des fossés construits par les Normands lors du siège de Paris, on la trouve confondue au quinzième siècle, avec les rues au Comte-de-Ponthieu et de Béthizy, dont elle formait le prolongement. Elle a pris en 1868 la dénomination de rue Perrault.
- ↑ De la rue du Fossé-Saint-Germain à l’église Saint-Germain-l’Auxerrois.
Cette rue, dont le nom est une corruption de Tronc-Bernard, fut appelée, plus tard, rue du Demi-Saint, parce que l’accès en était interdit aux voitures par une statue de saint à demi-mutilée. Elle n’existe plus.
- ↑ Située rue de l’Arbre-Sel.
C’est peut-être le Cloître Saint-Germain-l’Auxerrois, qui n’est pas nommé dans le poème.
- ↑ De la rue Sus-la-Rivière à la rue Osteriche.
Elle conduisait sans doute au Louvre.
Sourdis. Le premier nom n’est probablement qu’une corruption de Col-de-Bacon ou Col-de-Porc. Cette impasse s’est appelée aussi impasse Coup-de-Baston. L’Impasse Sourdis a tiré son nom de l’hôtel Sourdis.