sont l’origine de trois, quatre ou cinq bras, qui s’élèvent graduellement en portant tous les ans un sarment terminal, taillé à deux yeux.
En jetant les yeux sur les figures 346 aa’, 347 et 348, on aura une idée complète du dressement et de la conduite des ceps du Morbihan.
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Autrefois le cépage dominant était le breton, excellent
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Fig. 347. Fig. 348.
raisin qui a le tort de mûrir lard et difficilement ; mais
aujourd’hui c’est la folle verte qui fait le fond des vignobles
replantés, le gros plant nantais ! Pourquoi cette chute ?
Parce que la folle craint moins l’oïdium, parce qu’elle produit
bien à la taille courte et parce qu’elle était sous la main,
par le contact de la Loire-Inférieure : aussi ne fait-on que
des vins blancs, qui valent de 20 à 25 francs la barrique. Il
est vrai que la moyenne production est d’au moins 20 bar-
