Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/10

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VII

tions, eux survivances dupnssé que l’uvenir peut se fonder et se développer..

M. Il’heodore llotrel, qui nous il full hier et aujourd’hui bien du plziisier zivee ses ehnnsons, u trouvé, dans la Ciïoe//e MIS, un symbole des plus heureux et des plus signifieuiils. Oui, nz. cloehe engloutie, mais qui vibre encore, il lnut uller lu, chereher duns les profondeurs du passe où elle est enlouie, il lkiut lzi rapporter un jour, toute siunatiliee pur les beneilnttions des vieux’rites, toute prete uux iusliiutions nouvelles. Il faut qu’elle sonne ces notes eluircs et profoniles dans le ourillon des temps qui se lèvent, cles temps dont, miiigre de sourds nuages à Yliorizon, nous croyons voir poindre l’uurore. Je dis ri Set [mie >>. ii2il’ce (jill’lll©ll seru < ’©l11p©sÉ¢ des sons de bien ilesirloizlies d’urgent, d’or, de bronze et de i’er, eluieune ilislinete, foules unies ; et <:’est de ces hairinoniques infiniment ; vuriees que se feru le timbre grandiose et piiisseiiit.

’l’l’êlVillll4’[. Messieurs, vous qui uvezsous 1 ::, muin les dons in=’·puisu, bles et toujours renouvelés de Voire terre et ile votre mee, lr ;, nvuillex ix. les ineltre en valeur. lziissex pis se perure de bonnes pvolonles comme celles que nous venons ele voir 2’1 l’oeuvre. Faites que lu fête i.l’uujoiu-il’luii soit le point de ilepurt rl’un ll’l©ll\’(3l’ll4"lli qui peut être. romine il y zi huit siècles, l’e«<ond bien un (lelu ile lu liretzigne. fin remercient et en lelieilunt bien vivement veux qui ont en l’i«lee de cette fête, et si qui elle doit (sl’2t\’O11e si bien réussi, en expriment une «lerniiÈ·re lois :’¤, veux qui ont pris purt zi lu représen-Lzalion liri lenneloule ln, szalislnetioii q ne nous onteuusee leur rilll(îiÃl’ill’l et leur inLelli ; ;1en<we. je lorine ici le voeu que <:<·li.e journée perle en elle les prémices d’une renouvelle. ou non seulement on joueru les vieilles prorlui, —r lions ur.: illiil, ll]lll’S bretonnes. maiis ou on en représentera ele nouvelles, huiles pour le peuple duns un esprit vraiment religieux.

Je leve inon verre il lhivenir (lu tliezilre breton. V

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