Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/101

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Voyant que la chaloupe se préparait à partir, je me disais : Grand Dieu ! si ce vaisseau part sans m’emmener, ces sauvages finiront par me faire périr, car on ne peut pas se fier à eux. Je sortis du village, et je me dirigeai du côté de la mer