Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/121

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Il appartenait à un marchand, nommé Pierre Rosel. Les Français armèrent une embarcation, et se dirigèrent de son côté pour s’en emparer. Ils m’emmenèrent avec eux pour leur servir d’interprète ; mais ils nous repoussèrent bravement. Nous eûmes plusieurs hommes tués ou blessés, et je fus du nombre de ces derniers. J’invoquai le Seigneur, car je me croyais mort.