Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/122

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Je le suppliai de me conserver la vie, et de me laisser retourner dans un pays de chrétiens, lui qui m’avait déjà préservé de tant de dangers ; mais je guéris heureusement de cette blessure. Que Dieu en soit loué dans toute l’éternité !

L’an 1554, le dernier jour d’octobre, nous mîmes à la voile du port de Rio-Janeiro pour retourner en France ;