Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/162

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Le matin, longtemps avant l’aurore, ils se mettent à danser autour de la massue qui doit servir au suplice. Dès que le soleil est levé, ils vont chercher le prisonnier, démolissent la cabane et déblaient la place. Ils ôtent la massarana de son cou, la lui serrent autour du corps,