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Nous nous dirigeâmes de nouveau vers le Cap Ger, pour voir si nous pourrions faire quelqu’autre prise ; mais les vents contraires nous ayant empêchés de nous approcher de terre, nous nous décidâmes, le jour de la Toussaint, à partir pour le Brésil.
Quand nous fûmes éloignés de quatre cents milles[1] de la côte de Barbarie, nous vîmes autour du vaisseau une foule de poissons que nous prîmes à l’hameçon.
- ↑ Hans Staden, compte par milles d’Allemagne de 15 au degré.