Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/69

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Elles me conduisirent, de l’endroit où elles m’avaient coupé les sourcils, devant la cabane où se trouvent leurs Tamerka ou idoles. Elles formèrent ensuite un cercle au milieu duquel je fus placé. Deux femmes s’approchèrent de moi, et m’attachèrent à la jambe un cordon garni de grelots, qui faisaient du bruit en s’entrechoquant, et au cou une espèce d’éventail, fait de queues d’oiseaux,