Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/117

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE XXIV.


Comment on me conduisit après la danse, chez Ipperu Wasu qui devait me tuer.


Quand la danse fut finie, on me livra à Ipperu Wasu. Celui-ci me gardait avec soin, et m’annonça que j’avais encore quelque temps à vivre. Ils apportèrent ensuite toutes leurs idoles, et les placèrent autour de moi, disant qu’elles leur avaient annoncé qu’ils prendraient un Portugais. Je leur dis alors : « Vos