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QUEL TRISTE ELEVE—QUI A APRIS.


“Quel triste élève de la Grè
Pourrait, en voyant sa beauté,
Préférer les lis de Lucrèce,
Et les paleurs de la sagesse,
Aux roses de la volupté?”


“What gloomy student of old Greece,
As on her charms his gaze reposes,
Would choose the lilies of Lucrece,
Or virtue’s garland colourless,
In place of passion’s roses?”

“Quelle vanity que la peinture, qui attire l’admiration par la ressem-
blance des choses dont on n’admire pas les originaux!”

Pascal. Pensées, Part I., Art. X., 31.

“What vanity is the art of painting, which claims our admiration for the
representation of things, the originals of which we do not admire.”

“Quelque chose que spavent déliberer les hommes en ces matières,
Dieu en conclud à son plaisir.”

Philippe de Commines. Mémoires, Livre III., Chap. II.

“Whatsoever be the deliberations of men in such matters, God concludeth
them as he pleaseth.”

“Quelquefois deux jours de dépit
Font plus que deux ans de service.”

Rambouillet de la Sablière. Madrigaux, Livre II. (Ed. 1680,. p. 41.)

“Two days of ill-temper ofttimes
Help us more than two years of devotion.”

“Quelque raison qu’on trouve a l’amour qui nous dompte,
On trouve à l’avouer toujours un peu de honte.”

Molière. Tartuffe, Act IV., Sc. V.—(Elmire.)

“How wise soe’er the love by which we’re tamed,
Yet to avow it we are aye ashamed.”

“Quelque sujet qu’on traite, ou plaisant ou sublime,
Que toujours le bon sens s’accorde avec la rime;
L’un l’autre vainement ils semblent se hair:
La rime est une esclave, et ne doit qu’obeir.”

Boileau. L’Art Poetique, J., 27-

“With every subject, trilling or sublime,
Aye let good sense be wedded to the rhyme;
Let not their seeming hatred you dismay:
Rhyme is a slave and has but to obey.”

“(Quar) qui a apris la richece,
Moult i a dolor et destrece
Quant Ten chiet en autrui dangier
Por son boivre et por son mengier.”

Rutebeuf. Le Miracle de Théophile. (Théatre Français au Moyen Age. Ed. Desrez, 1839, p. 140.)

“For whoso once hath riches known
Aye findeth cause to weep and groan,
If in another’s power he fall
On whom for bite and sup to call.”