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DE L’HOMME,
CHAPITRE IV.
De la religion papiste.
Plus de conséquence dans les esprits rendroit la religion papiste plus nuisible aux états. Dès que le célibat y passe pour l’état le plus parfait et le plus agréable au ciel[1], point de
- ↑ Une sorte d’incrédulité sourde s’oppose souvent aux funestes effets des principes religieux. Il en est des lois ecclésiastiques comme des réglements du commerce : s’ils sont mal faits, c’est à l’indocilité des négociants que l’état doit sa richesse ; leur obéissance en eût été la ruine.
sont les mêmes que la bonne ou mauvaise police rend honnêtes ou frippons.