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SOMMAIRE.

Que la solution de cette question suppose la connoissance des occupations différentes dans lesquelles les hommes consomment les diverses parties de la journée.
Chap. II. De l’emploi du temps,
Que cet emploi est à-peu-près le même dans toutes les professions ; que tous les hommes, par conséquent, pourroient être également heureux.
Chap. III. Des causes du malheur de presque toutes les nations,
Que le défaut de bonnes lois, que le partage trop inégal des richesses nationales, sont les causes de ce malheur presque universel. Mais est-il possible de mettre les citoyens dans l’état d’aisance requis pour leur bonheur ?
Chap. IV. Qu’il est possible de donner plus d’aisance aux citoyens,
Que c’est à l’imperfection des lois qu’on doit souvent la soif insatiable de l’or.
Chap. V. Du desir excessif des richesses,