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SOMMAIRE.

Chap. XI. De la variété des romans, et de l’amour dans l’homme oisif ou occupé,
Que l’oisiveté, qui pese à tous, fait chercher par-tout un remede à l’ennui.
Chap. XII. De la religion et des cérémonies considérées comme remede à l’ennui,
Que le seul remede efficace sont des sensations vives et distinctes.
De là notre amour pour l’éloquence, la poésie, enfin pour tous les arts d’agrément, dont l’objet est d’exciter en nous ces sortes de sensations, et dont les regles ne sont que les moyens d’opérer cet effet.
Chap. XIII. Des arts d’agrément, et de ce qu’en ce genre on appelle le beau,
Chap. XIV. Du sublime,
De ce qui le constitue.
Chap. XV. De la variété et simplicité requise dans tous les ouvrages, et