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Page:Henri Deberly Le Supplice de Phèdre 1926.djvu/106

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LE SUPPLICE DE PHÈDRE

Elle eut un rire de gorge, un rire voulu. Puis, sur un ton d’impertinence qui trahit sa gêne, mais d’une voix mesurée dans ses inflexions :

— Et pourquoi pas ? répliqua-t-elle. D’autres le font bien ! J’en ai assez, quand nous sortons, de compter les couples. En fait de plaisir, c’est médiocre ! Je ne suis pas encore une grand’mère, tu sais !