i DE HENRI I_V.' ss les faire loger dans l’un des fauxbourgs diiôelle pour une nuit seule- . . ‘ C l . _ ment, vous ayés a les soull’r11*; nous- asseurantque, comme ils ont _ de quoy . pourveoir toute la despense qu’ils_y pourront faire,. ils s’y comporteront de telle sorte que vous n’en recepvrés point de mes- contentement. Donnéa Sa’inct—Germain en Laye, l0`11`]°jOtlI‘ de juillet 1598. _` - i ( .. -. HENRY. v . - l, I I DE NECFVILLE. _ — _', l598..-;- 3`JU1tLE1 . —lI"“F.— . Orig. — Àrch.- des Médicis, légation française, "liasse Copie transmise par M. le ministre i . A - dc Frauceà Florence. i _i A MON COUSIN LEGRAND DUCDE TOS_CANE. ‘ ` ` Mon Cousin, Je sçay quevous nfaimés, car vous me lavés faict paroistre. Je, pense aussy que vous 'devés participer aux bons succés qui m’arrivent de la main de Dieu pour le bien de la Chrestienté en general, et de cest Estat en particulier ; et encores que vous ayés eu advis de divers endroicts, de la conclusion de la paix que j’av nagueres faicte avec le roy d’Espagne, je la vous ay bien voululaire sçavoir, et m’en conjouir avec vous par ceste lettre, `laquelle vous sera portée ~ parlevesque de Rennes, auquel j'ay_commandé de retourner devers vous exprès pour cest eH’ect, et vous asseurer plus que jamais de la perseverance de mon amitié, me promettant que vous me continuerés tousjours la vostre, _comme je vous en-prie, et’d’adjouster pareille foy au. dict evesque qu’à moy—mesme zfpriant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ait en sa `saincte et digne garde. D _` " __ ` ‘ HENRY. ' V . __ p . i os, NEU§VILI.E.'
