` T1598.]— Z1 JU11.1.E1 . _
Orig. autographe. — Archives des Médicis, légationfraneaise, liasse 3; Copie transmise
h par M. le ministre de France à Florence.
Imprimé. — Histoire nié Toscane, trad. de i’italien*de Bmoccto Gannuzzi ; Paris, 1782, iil I2?’
` " `I t. V, p. 30/i. '
. A MONCOUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANE. '
Mon Cousin, Je vous renvoye l°.evesque cle Rennes, plus pour vous
asseurer de mon amitié que pour autre cl1ose ;_car je desire que vous
enjfaciés à l’avenir plus d’estat~ que jamais, voulant me revancher des
plaisirsque jlay receus de vous, a present que Dieu m’a faict ia
grace de remettre mesailaires entel estat que iespere que jlen auray i
I plus de moyen que je n’ay eu. Aymés—moi'doncques, je vous prie, `
_ et 'n’ayés esgard au passé, vous promettant d’afi’ectionner tout ce qui
vous touchera comme le mien propre.` Adjoutés Toy au (lit evesque et _
me continues vostre amitié comme à . -
- Vostre bien bon cousin,
‘ - À -` '3 HENRYÃ `
Ce llljejllillêll à Sainct-Germain en Laye. . 1 1 - ‘
i i . 1598; —` xo.-1u11.i.Er. — I *
U Co . Bibliothiile M. Monmer ué, Ms. intitulé Lettres?} l'¢miliassadem du Levant. i
P p ‘I
_ i` _` [A M. DE BBÉVES.]_
_ _l\/lons' de Breves, lay i’aictïla_paix avecle roy d'Espagne, pour
les raisons et—.aux conditions que je vous ay escriptes par 11185 prece- i
dentes ; suivant lesquelles mes villes de Calais, Monthulin, la Cha-
pelle et le Cliastelet m'ont clesjà esté rendues, comme le doivent
i estre bientoSt’les’autres, et espere, moyennantla grace de Dieu,
remettre en peu de temps ID011 Royaume en sa premiere force et
splendeur, pour estre aussy utile à mes alliez etamys qu'ila esté du
‘ A temps des Roys mes predecesseursile ne doubte point que ce Grand
Sei neur et ses ministres ne soient marr s du dict accord, autant oui ;
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