mis dïafliectionner tout ce qui concernera mon service, et d’avoir pour cest eHeCt toute correspondance avec vous. Il parle mesme de revenir bien tost par deçà. Au reste v’ous sçaurés que“ je vis en paix avec tous mes voisins, et dedans. mon Royaume, grace à Dieu, avec laquelle .j’espere le remettre avec le temps en sa premiere forme et splendeur, pour estre aussy utile-aux amys d’icelle et formidable aux autres, qu’il a a jamais est’é. J’ay este prié parle duc de Florence de favoriser les pri— sonniers desquels il’faict mention au memoire qu’il vous envoyé ; par tant faictes pour eux ce que vous pourrés, sans prejudicier à mon ser- vice, et me donnés advis de ce que vous y aurés advancé : priant Dieu, Mousr de’Breves, qu’il vous tienne en sa saincte garde. De S‘—Ger—V main en Laye, le Klije juillet. 1601. l '
[1601.] — 1 JUiLLn’r.
Orig. autographe. —B. N. Fonds Du Puy, Ms. 1107, fol. 54. Gop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3.
À MONS“ L’EV’ESQUE D’EVREUX.‘
Mousr d’Evreux, Je vous fais ce mot de ma main, et vous depesche ce lacquais, exprès pour vous dire qu’ayant besoin de vostre service, _ je vous prie incontinent me venir trouver à Paris, où je seray. Aussy ma sœur est icy, et j’auray à plaisir que vous luy, parliés, et j’espere que ce sera avec profict. Dieu, Mons' d’Evreux, lequel je prie vous avoir en sa saincte garde. Ce XVje juillet, à S‘—Germain en Laye. i
1601. — 18. JUILLET.
Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9070, fol. 77.
Cop. — Supp. fr. Ms. 1009.2.
[AU CONNÉTABLE.]
Mon Cousin, J’ay veu par vos deux depesches des iiiie et vie de ce