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DE HENRI IV.

de luy bailler les depesches de Bordeaux et Toulouse et aultres villes, et par consequent_ cela a faict que plus tost vo11s sa llavés eue, car je luy a vois tres expressement commandé d’aller droict â vous et de là à m' le Grand et à"Boquelaure i Tenés moy pour veritable aux promesses en ce que jevous promis pour vostre fils. Il y a des princes etseigneurs qui mlont voulu bailler leurs enfans pour estre à mon Hls le Dauphin, 'auxquelsiay faict response que lé premier ser- viteur qu’il auroit seroit vostre lils, et que je le vous avois promis. Je suis bien aise de ce que vous vous portés mieulx, des boues de Bar- botan 1 et des bains, le serois encore plus si, lorsque vous recevrés celle cy, vous estiés parfaictement guery ; ce que `_j'espere,. et de vous voir bien tost, puisque je suis resolu de faire la moitié du chemin. qui est d’icy àl vous, 'car je fais estat d’estre_ dans trois sepmaines, ` Dieu aydànt, à— Tours et à Poitiers. Il court icy unenialadie qui res- semble à la coqueluche, de quoy tout le monde se ressent. Je l’ay desjà eue et commence d’en estre guery. Ma lemme et mon fils se portent tres bien, Dieu mercy ;'qui sont les meilleures nouvelles que je vous puis mander, et que je vous aime bien. A Dieu, mon amy., Ce xvJ“‘° octobre, à Fontainebleau. u . ' . . HENRY. . 160l'.—_i7 OCTOBBEÃ _ ' Oriig. — B. N. Fonds Béthune, Nls. 897B, fol. i5. _ A MONS“ DE BETHUNE,. i ` lp cousnmim mv mom coivsmr. ivnsmr nr Mou Ammsswnun A nom ;. ` Mons' de Bethune, Puisqu’il a pleu a Dieu me donner un [ils, lequel monstre avoir envie de —vivre, tant il commence à prendre heureuse nourriture, je veulx le presenter à Dieu et Yenregistrer et incorporer en l’Eglise le plus dignement et promptement que faire se pourra, alhn qu’il chemine par les pas de ses ancestres, et qu’ayant 1 B&I’bOÈ&I] est UI] I)OI1I’g (IC G3SCOgH’C, Source DOIICUSC CIOHIC OD BBÉIIIIG les VCITUS dans le département du Gers, avec une, médicinales. '