i DE HENRI IV. 779 [1609.] — S ocronan. — [Ilm. . Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère. Imprimé. — Oliconomies royales, édit. orig. t.`IV, p. 186. ' A A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. Mon amy, Je vous lais ce mot par le s' de Beaumont, qui le vous rendra, pour vous dire [que], suivant le commandement que je vous- [is dernierement à Paris, vous ayés à faire payer la pension de cest homme qui est en Flandres ; car il me peut plus servir que jamais, maintenant que de là on nous doit envoyer un nouvel ambassadeur. A Dieu, mon amy. Ce 11_]° octobre, à Fontainebleau F. _ • . . HENRY. - _ [1609.] —— 5 ocromm. — I". A _ Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère. Imprimé. — œconomics royales, édit. orig. t. IV, p. 1 87. A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. — Mon amy, Voyés la plaincte qu'aulcuns des olliciers de ma maison ont Iaicte à mon cousin le comte de Soissons du tresorier Payot, par la requeste que je vous envoye. C’est un larcin inexcusable, si elle est vraye, comme ils oflrent de la maintenir et prouver, avec plu- sieurs autres qu’ils disent avoir esté traictez de mesme par luy. Donnés ordre, je vous prie, que la reparation et justice en soit faicte telle, qu’elle serve d’exemple à ceux de sa profession, Pimpunité des- uels leur donne la hardiesse de commettre tels traits, la uelle il Il . (I Faut reprimer. A Dieu, mon amy. Ce v° octobre, à Fontainebleau'. I HENRY. ' Au dos est écrit, de la main de Sully : " ¤Le Roy, du 2 octobre [sic] pour un pensionnaire en Angleterre. iôog. ' Au dos est écrit, de la main de Sully : A- À « Le Roy, du 5 octobre 1609, touchant Paiot et les gages des olliciers. ¤ 98.
