Page:Henri Maret Le tour du monde parisien 1862.djvu/214

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

202
LE TOUR DU MONDE PARISIEN.

Est-ce que l’amour du despotisme, inné chez la femme, la pousse dès son jeune âge à faire saigner le corps des gens, dont plus tard elle fera saigner l’âme ?

La bonté du sexe faible serait-elle un mensonge ?

Ô George Sand, vous qui prêchez l’émancipation de la femme, vous n’avez certainement pas vu, au noir jardin de l’Archevêché, cette petite fille souriante tenir les bras du frère courbé, afin que sa chair meurtrie ressentit mieux la souffrance et ne perdît aucune douleur.