Page:Henri Poincaré - Leçons sur la théorie de l'élasticité, 1892.djvu/142

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132 LEÇONS SUR LA THÉORIE DE L'ÉLASTICITÉ et ^='-^=— v--^ Donc et d^o , d^'jj , ^., , ,, df\ 'K ^ d-ij T^+T=-'PT' dz dy dz LesconditionsàlasurfaceN3=Tj=T, =0pour^=o se réduisent, puisque l'équation T^ = est satisfaite d'elle- même, à : I Wf^^ + T^) + !V]?-o ' dz pourz=o Le coefficient de cp ne peut être nul ; donc cp = o. On ne peut supposer en même temps -t^= 0, car cela entraînerait A. = B ^ o, ce qui est impossible puisqu'on a supposé l'existence d'un rayon incident. Il fautdoncquel'onaitsoit\i. =0,soitP= aveccp =0. Le cas [x = o correspond à un fluide élastique. Le cas p = o donne l'incidence normale. Sauf ces deux cas, un rayon incident longitudinal est tou- jours décomposé par la réflexion. Supposons maintenant que le même fait se produise pour un rayon incident Iransvcrsul.