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CHAPITRE IV.
la différentiation
Supposons maintenant que l’on connaisse une intégrale des équations (1), et soit
cette intégrale.
On aura, pour la solution (1 bis),
et, pour la solution (1 ter),
et étant deux constantes numériques.
Si nous supposons que les soient très petits, il en sera de
même de et, si l’on néglige les carrés de ces quantités, il
vient
(4)
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Dans les dérivées partielles il faut, bien entendu, faire après
la différentiation
L’équation (4) nous donne alors une intégrale des équations (2) ;
il importe d’observer que cette intégrale contiendra en général le
temps explicitement.
Ainsi, si l’on connaît une intégrale des équations (1), on peut en
déduire une intégrale des équations (2).
Application à la théorie de la Lune.
55.J’ai parlé plus haut, au no 53, des applications possibles des
équations aux variations et de leur utilité pour l’Astronomie. Un