minant est nul. Ainsi le discriminant de devrait s’annuler pour tous les points de toutes les solutions périodiques.
288.Mais une relation algébrique telle que
ne peut pas, à moins de se réduire à une identité, être vraie pour tous les points de toutes les solutions périodiques.
En effet, adjoignons à la relation
(2) |
deux autres relations
(3) |
(où et sont deux constantes arbitraires, et les deux fonctions ainsi désignées dans le numéro précédent) et une quatrième relation algébrique quelconque
(4) |
le nombre des solutions de ces quatre équations algébriques sera limité quelles que soient les constantes et
Considérons maintenant une solution périodique, les variables et seront développées suivant les puissances de sous la forme
(5) |
De même sera développable suivant les puissances de et l’on aura
et seront indépendants de
Reste je dis que cette fonction, qui par hypothèse est algébrique en et dépend de même algébriquement de
En effet, en exprimant que
est un invariant intégral, on sera conduit à certaines relations où entreront les coefficients de leurs dérivées et les coefficients des équations différentielles du mouvement.