Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/39

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30 ÉQUATION DU MOUVEMENT DE LA CHALEUR on voit que l'on a, pour des valeurs positives du temps : Or nous avons déjà : Donc on a: D'où, par conséquent : Le résultat subsiste même dans le cas limite où, pour cer- tains éléments de la surface, h est infini, car pour ces points on aurait : et l'intégrale : resterait finie. 23. Considérons maintenant le problème des températures stationnaires, et supposons qu'il comporte deux solutions V et Y'. On aura pour tout point intérieur : et à la surface: