Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/94

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PROBLÈME DE L'ARMILLE 8fi Considérons alors : En posant: ona: 48. Nous allons vérifier que U satisfait.aux conditions de l'énoncé. La série qui représente f(x) esl, par hypolhùse, conver- gente. Donc: k étant une constante, et ceci a lieu quoi que soit a:; en particulier, en faisant successivement x = o cl a: = £i on voit que: Nous allons démontrer que, pour t >o, U est une fonction holomorphe do x et de t. Nous avons vu que les séries : représentent des fonctions holomprphcs do a;, si on a: t étant un nombre positif.