Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 1, 1889.djvu/276

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
262
THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE

De l’équation (5) nous pouvons tirer une relation entre les valeurs moyennes des quantités qui y entrent. et étant des fonctions périodiques, et la valeur moyenne de la dérivée d’une fonction périodique étant nulle, nous aurons

les quantités affectées d’un indice 0 représentant les valeurs moyennes de ces quantités. En remplaçant par sa valeur (4) et en écrivant immédiatement les deux équations analogues à la précédente qui s’en déduisent par permutation, on obtient un nouveau groupe de relations :

(III)

Enfin les équations (1) du mouvement nous donnent une dernière relation. Nous en tirons en dérivant respectivement chacune d’elles par rapport à et additionnant

ou, puisque le second membre est identiquement nul

Or, pour les valeurs de définies par les relations (2), on a