Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 1, 1889.djvu/294

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
280
THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

deviennent

(III)

Nous allons montrer que étant les composantes de la vibration de M. Sarrau, sont proportionnels à celles de la vibration de Neumann et à celles de la vibration de Fresnel.

Si dans nous remplaçons les dérivées partielles de par leurs valeurs tirées des relations (2), nous obtenons pour l’une de ces quantités

et si nous posons,
(3)
nous aurons pour

c’est-à-dire que sont respectivement proportionnels à Or des relations précédentes (3), nous déduisons im-