CONTES •-':■.;•,
ments, restés inconnus, ou partiellement attestés par les Jâtakas J ceux-ci sont un entassement; le Pancatantra, un choix.
On a imaginerait pas la vérité, — convention- nelle, mais irréprochable, une fois la convention admise, -- la variété et le burlesque de bon aloi des attitude- qu'il prête à ses personnages. — Voici le moine mendiant, prototj pe «le notre Perrette : il a suspendu au dessus de son lit le produit des au- mônes péniblement recueillies, un grand pot plein de farine, sur lequel il compte pour s'enrichir; riche, il aura une belle femme, bien docile, et, si elle ne l'es! pas, gare aux coups de pied !... Le geste suit la pensée, el mon homme s'enfarine des pieds à la tête. Voici le chacal, vil et poltron, qui suit la chasse du lion pour se nourrir de ses rebuts- Mais aujourd'hui il s'est pourvu tout seul, il a trouvé le cadavre d'un éléphant; seulement, comment l'en- tamer ? ses dents ne sont pas assez forte- pour dé- chirer celte peau. Arrive le lion: il n'a irarde de le mettre en appétit ; il lui dit que c'est une charogne, et le lion se retire dédaigneux. Survient un ti^re : il faut se débarrasser de ce fâcheux : « < !et éléphant appartient au lion, qui m'a chargé de le garder » ; et le tigre s'enfuit. Un léopard : le joint est trou\ ô : <( Frère, man^eun peu de cet (dépliant, tandis que le lion tourne le do>; je t'avertirai quand il re-
\ iendra. n L'autre ae Be fait pas prier longtemps et se meta l'œuvre ; mais à peine a I il donné quelques
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