Page:His Last Bow (1917).djvu/182

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Les autres, nous les mettrons dans la poche de ce jeune homme. Lorsqu’il sera trouvé, toute la faute retombera sans doute sur lui’. Je ne voyais pas d’autre solution, alors nous avons fait comme il le suggérait. Nous avons attendu une demi-heure à la fenêtre avant qu’un train ne s’arrête. Le brouillard était si épais que l’on ne pouvait rien voir, et nous n’avons eu aucun mal à déposer le corps de West sur le train. C’était la fin des événements en ce qui me concernait.

« Et votre frère ? »

« Il n’a rien dit, mais il m’avait surpris une fois avec ses clés, et je pense qu’il se doutait. Je voyais dans ses yeux qu’il me suspectait. Comme vous le savez, il ne s’en est pas remis. »

Le silence régnait dans la pièce. Il fut brisé par Mycroft Holmes.

« Ne pouvez-vous offrir réparation ? Cela soulagerait votre conscience, et peut-être diminuerait votre sentence. »

« Quelle réparation puis-je faire ? »

« Où se trouve Oberstein avec les papiers ? »

« Je ne le sais pas. »

« Ne vous a-t-il pas donné d’adresse ? »

« Il a dit que les lettres adressées à l’hôtel du Louvre, à Paris, finiraient par le joindre. »

« Alors il vous est encore possible de réparer, » dit Sherlock Holmes.

« Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir. Je ne dois rien à ce type.