Page:Hobbes - Œuvres philosophiques et politiques (trad. Sorbière), 1787.djvu/127

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CHAPITRE IV

Que la loi de nature est une loi divine.



SOMMAIRE

I. La loi de nature et morale est la loi divine. II. Ce qui est confirmé en général par l’Écriture. III. Et en particulier eu égard à la loi fondamentale de chercher la paix. IV. Et à cette autre première loi de nature, qui commande d’abolir la communauté des biens. V. Et à la deuxième, de garder la foi promise. VI. Et à la troisième, de la recon­naissance des bienfaits. VII. Et à la quatrième, de la condescendance. VIII. Et à la cinquième, de la miséricorde. IX, Et à la sixième, que les peines regardent seule­ment l’avenir. X. Et à la septième, contre les outrages. XI. Et à la huitième, contre l’orgueil. XII. Et à la neuvième, touchant la modestie. XIII. Et à la dixième, contre l’acception des personnes. XIV. Et à la onzième, de posséder en commun ce qui ne se peut diviser. XV. Et à la douzième, touchant la division par sort. XVI. Et à la quinzième, touchant le choix d’un arbitre. XVII. Et à la dix-septième, que les arbitres ne doivent point tirer de récompense de leur jugement. XVIII. Et à la dix-huitième, touchant l’usage des témoins. XIX. Et à la vingtième, contre l’ivrognerie. XX. Eu égard aussi à ce qui a été dit, que la loi de nat