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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/105

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aversion pour l’étranger avaient touché singulièrement le cœur du jeune homme , et augmenté la rancune qu’il avait contre la veuve du professeur, à laquelle il attribuait, dans son délire, les peines et la douleur de Marguerite. Etant entré dans la chambre de sa femme, celle-ci voulut lui adresser la parole; mais il l’interrompit en lui reprochant amèrement d’avoir tourmenté la jeune tille des rêveries les plus absurdes, et d’avoir porté un jugement aussi défavorable de son ami Firmino Valiès qu’elle ne connaissait pas et qu’elle ne connaîtrait jamais, car l’aune d’une vieille femme de professeur ne pouvait pas mesurer des personnages de celte trempe. — On en est donc là ! s’écria la femme du professeur d’un ton dou