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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/121

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subite frappa comme un éclair le pauvre Eugène déjà très-animé par le chant. Firmino présenta le jeune homme à la comtesse comme un de ses meilleurs amis; il ajouta qu’il parlait très-bien l’espagnol; qu’il était excellent botaniste et qu’il trouvait un véritable plaisir à visiter le jardin. Eugène bégaya quelques paroles inintelligibles, pendant que la comtesse et Firmino échangeaient des regards très-significatifs. Gabriela fixa Eugène qui était comme anéanti. Alors, la comtesse donna sa guitare à Firmino, et prit le bras du jeune homme. Elle lui dit qu’elle connaissait aussi un peu la botanique, qu’elle désirait beaucoup avoir des renseignemens sur différentes plantes, et qu’elle le priait de parco