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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/143

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CHAPITRE DERINIER.


C’ÉTAIT une nuit chaude et sombre. Les zéphirs agitaient doucement le noir feuillage, et l'horison lointain était éclairé par des éclairs qui le sillonnaient en tous sens. L’odeur admirable du cactus grandiflorus, qui venait de fleurir, embaumait tous les