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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/219

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Tu vois, cher Hartmann, que je me trouve placé dans une position déplorable, qui nécessite un prompt départ.

Hartmann ne fut pas peu surpris de ce que lui raconta son ami, et tous les deux, après avoir parlé assez longtemps de ce qui se passait dans le château, furent d’accord sur l’opinion, que toute cette famille se conduisait d’après des principes très-pernicieux.

Les premiers rayons du soleil vinrent arracher nos deux amis au repos. Un parfum de fleurs s’élevait jusqu’à eux par leurs fenêtres, et tout dans la campagne, était riant et animé. Les deux amis résolurent de faire un tour dans le parc avant le déjeuner. En arrivant vers un lieu retiré du parc, ils entendirent une conversation animée, et aperçurent bientôt le