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trouver à cette même place, et tint parole. Enfin, après plusieurs entrevues semblables, elle consentit à le suivre à Tœplitz où il la plaça dans une maison recommandable.
Le prêtre avait jugé, d’après ses discours, qu’elle appartenait à une famille distinguée, et il ne s’était pas trompé, car le jeune comte Bogislas de F., étant venu passer quelque temps à Tœplitz, déclara, après l’avoir entretenue, qu’elle était parente de sa famille, et que comme elle se trouvait très-heureuse dans sa demeure actuelle, il lui assignait une pension pour y demeurer.
Mon voisin termina son récit en m’engageant à aller voir cette folle qui, disait- il, était très -douce et agréable.
J’y suis allé aujourd’hui même, après midi.