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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/62

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diction de l’église ! — Cependant, malheureux que je suis, continua-t-il subitement, toutes mes espérances, tout mon bonheur sont détruits à jamais ! Marcel a peut-être rendu le dernier soupir, et dans un moment on me traînera peut-être en prison. — Soyez tranquille, dit-elle, soyez tranquill , mon cher fils ! Marcel est hors de tout danger; le coup que vous lui avez porté, n’a endommagé aucun organe nécessaire à la vie. J’ai passé plusieurs heures avec votre respectable recteur. Il a pris des informations auprès du doyen, de vos témoins et de plusieurs étudiants qui étaient présents au duel. — Ceci n’est pas une dispute absurde , dit le noble vieillard. Eugène ne pouvait pas punir autrement l’insulte qu’on vous a faite, et Marcel ne pouvait pas agir autrement. Je n’ai été informé de