Page:Hoffmann - Œuvres complètes, tome III.djvu/715

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Mais, je le répète encore : que le diable emporte le sphinx et le professeur de philosophie !

MOI.

Pourquoi cela ?

BERGANZA.

C’est à eux que je dois la privation du spectacle des jeux mimiques de Madame, et peu s’en est fallu que je ne fusse chassé de l’hôtel ignominieusement.

MOI.

Ce sphinx est sans doute un emblème allégorique par lequel tu désignes quelque nouvel original de ton cercle ?

BERGANZA.

Point du tout ! je veux parler du véritable sphinx avec sa coiffure égyptienne et le regard fixe de ses yeux ouverts eu forme d’œufs.

MOI.

Eh bien, raconte.

BERGANZA.

Que ce fût en effet par vengeance à cause du cours particulier de philosophie manqué, comme le soutenait le caractère indécis, ou bien seulement par dégoût et par aversion pour les ridicules prétentions artistiques de la dame, bref, le professeur devenu