Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/229

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un mauvais rêve ! et c’est uniquement à cause de ce logement et de cette salle ; je n’ai pu m’empêcher de me souvenir du passé, et de bien des choses dont ces lieux ont été témoins. Mais à présent il faut bravement se rendormir. »

En disant cela, le vieillard s’enveloppa de sa couverture et parut s’assoupir immédiatement. Mais, lorsque j’eus éteint les lumières et que je me fus aussi mis au lit, j’entendis mon grand-oncle murmurer tout bas des prières.


Le Majorat >> Chapitre II